La France a besoin que les entrepreneurs disent les maux en combattant médiatiquement le socialisme, qui détruit chaque jour davantage la liberté d’entreprendre et le pays.
Les entrepreneurs sont le cœur battant d’une économie, sans eux elle s’effondre. Pas de création de valeur sans dynamique entrepreneuriale capitaliste privée, impulsion frêle et spontanée de liberté et créativité. Or depuis l’introduction du socialisme en France pendant la seconde guerre mondiale par le maréchal Pétain avec la retraite par répartition, l’économie s’effondre méthodiquement sous le poids des impôts et réglementations.
Pas un jour ne passe sans qu’une nouvelle dépense ne soit mise en place, augmentant inéluctablement la charge fiscale et l’endettement, dans le pays déjà champion du monde de prélèvements. Face à la faillite budgétaire et économique en cours, les entrepreneurs doivent aujourd’hui sortir du bois, dominer l’opinion, reprendre le pays en main, et l’arracher à celles des politiciens socialisés de gauche comme de droite.
Le socialisme fait toujours faillite
Malgré toutes les économies que pourra faire le gouvernement, l’Etat arrive enfin au point de non-retour budgétaire. Le socialisme met du temps à détruire une économie développée. Mais il y arrive à coup sûr quand rien n’est fait pour l’empêcher. Quand un peuple veut que l’Etat se charge de tout et dicte la providence, il finit par charger tout le monde et arrive fatalement à court d’argent par excès de dépenses. Plus personne n’ayant logiquement l’envie ni les ressources pour entreprendre, en sachant que la moitié sera volée pour être gaspillée.
Avec 100 milliards de déficits cette année et pour les suivantes, aucune réforme qui n’implique pas la privatisation de l’État providence, ne pourra combler ce gouffre financier structurel. Rappel que pour 100€ dépensés par l’État providence et comme premiers postes de dépenses : 262 vont aux retraites, 205 à l’assurance maladie, 97 à l’éducation et 69 pour soutenir l’économie (qui s’effondre).
Il faut donc absolument privatiser les retraites avec la capitalisation gérée par le privé, de même que la sécurité sociale (maladie, aides diverses…) ainsi que l’éducation. L’État ne doit pas exercer d’autres fonctions que celles régaliennes (armée, police, justice, diplomatie, infrastructures, normes) ni prélever plus de 25% d’impôts sur PIB ou le pays commencera à connaître des dysfonctionnements sévères. La moyenne de l’OCDE est à 34% en 2021, les Etats-Unis à 25%, la France à 46%.
L’heure n’est plus aux courbettes
Face à cet abyme collectiviste dans lequel nous plongeont, les entrepreneurs ne peuvent plus rester cachés et muets sur le mal idéologique qui nous ronge. La France atteint un nombre de record de faillites cette année, une vague de licenciements défèrle, les entreprises Françaises fuient et s’expatrient aux Etats unis, les startups agonisent faute de financement et budgets des clients, les délocalisations continuent pour fuir le coût du travail…
Il est souvent bon ton de dire que l’économie est malade. Mais on ne pointe jamais le nom du virus qui la contamine. Osons le dire : c’est le socialisme ! L’économie est rarement malade par elle même, ou alors par un simple rhume qui ne dure pas longtemps comme symptome des soubresseaux naturels de l’organisme vivant qu’est le marché. La grippe qui dure des années ou des décennies est en revanche systématiquement causée par l’Etat et sa pulsion de mort et de destruction, qui intervient sans raison dans l’économie.
Si les patrons Français ne font rien pour arrêter ce délire collectiviste, tous leurs efforts seront réduits à néans. Nous arrivons dans la phase final du cancer socialiste, et le traitement chimiothérapique doit être administré par ceux qui connaissent les rouages économiques, en les pratiquants au quotidien dans le marché. Les politiques qui ont comme clients leur électorat, et en France majoritairement constitué des retraités vivant de la retraite par répartition, sont pieds et points liés. Jamais la révolution libérale ne viendra des agents de l’Etat.
L’heure n’est plus aux courbettes pour les patrons français, osez porter la voix !
Organiser une riposte coordonnée
Le socialisme n’est fort que parce que le marché lui laisse la place. Trop occupé, à juste titre, à rendre service. Mais aujourd’hui l’Etat l’empêche de rendre service !
Afin de mener une ripose efficace, il faut s’unir pour résister aux pressions de la dictature étatique. Les agents du fisc, les nombreuses agences castratrices, les politiques et leurs sbires… n’auront aucun pouvoir de censure si les patrons Français se lèvent en même temps pour combattre l’infamie qu’ils subissent. Le socialisme a mis aux entreprises des chaînes dorées pour leur faire oublier qu’elles sont esclaves du modèle « social » que « le monde nous envie ».
Les patrons ont plus de pouvoir qu’ils ne le pensent ! Une réaction coordonnée avec un chantage à la délocalisation ou à la fin d’activité, mettra à genoux le gouvernement et les députés, qui seront obligés de voter les réformes libérales nécessaires. Ou simplement préparera l’arrivée d’un gouvernement réformiste à la Xavier Milei ou Trump, soutenu par les électeurs convaincus. Des prises de paroles audacieuses et répetées, retourneront l’opinion publique contre l’Etat et sa providence. Quoi qu’en disent les médias, les Français ont de l’estime et du respect pour les patrons, petits comme grands. Ils savent reconnaître les créateurs de valeurs et admirent le travail acharné accomplit. Les Français ont beaucoup plus confiance dans Xavier Niel qu’Emmanuel Macron.
Osez donc dire les maux ! Fini les prises de parole éducolorée. Il est trop tard pour ça. Vous devez dénoncer les impôts trop élevés, les réglementations absurdes, les dépenses faramineuses, et pour parachever le discours, vous devez dénoncer le socialisme et son bras armé qu’est l’Etat providence, afin d’appeller à sa privatisation. Il faut le dire partout, tout le temps : dans les médias papier, télévisuels, dans les podcasts audio comme vidéo sur YouTube. Dites les termes, forgez les pensées.
L’Opinion peut se retourner comme une crèpe, si on la considère, on la respecte et on lui dit la vérité. Les Argentins comme les américains récemment, ont prouvé qu’ils étaient capables d’entendre la parole libérale et rejetter massivement le socialisme pour le libéralisme, voir le libertarianisme.
Les bureaucrates sont forts quand nous sommes faibles, mais ils ne vivent que par nous et se protègent derrière leur chateau fort étatique : ils sont lâches. Si les entrepreneurs s’unissent pour porter la voix libérale et dénoncer le collectivisme, aucune organisation étatique ne pourra les empêcher de faire tomber le mur de la sécu.
Les peuples européens en ont assez, ils sont prêts pour le changement, la technologie est là pour permettra la diffusion massive du libéralisme. Il ne manque plus que le courage de ceux qui font.
Patrons Français, osez la liberté !