Nous sommes entre gens de bonne compagnie, c’est à dire entre gens qui ne veulent pas soumettre les autres. Je pars donc du principe que vous agréez que chaque individu à le droit de défendre sa vie, sa liberté et sa propriété. Que vous savez qu’un droit sans moyen réel d’en jouir et de le protéger ne vaut rien. Que peu de choses peuvent aussi bien symboliser un pays dont l’État n’est pas totalitaire, que sa population librement armée. Que rien ne peut remplacer le port d’une arme à feu pour sa défense personnelle.